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News La VUB et l'ULB lancent des plans de diversité ambitieux avec le soutien d’Actiris En tant que grands employeurs à Bruxelles, les universités veulent jouer un rôle exemplaire en matière d'égalité. La rectrice de la VUB, Caroline Pauwels, et le recteur de l'ULB, Yvon Englert, ont dès lors officiellement présenté leurs plans de diversité à Bernard Clerfayt, ministre de l'emploi de Bruxelles, et à Cathy Van Remoortere, directrice du marché du travail et de l'inclusion chez Actiris. Caroline Pauwels et Yvon Englert, recteurs de la VUB et de l’ULB. Le « plan d'action égalité » de la VUB se concentre sur le sexe et l'ethnicité, l'âge, l'orientation, la philosophie de vie et la classe sociale. D'ici 2021, l'université souhaite entre autres accueillir une candidate sur trois pour des postes vacants, développer et sensibiliser à la diversité. Un code de conduite a été récemment élaboré et un nouveau site internet sur la diversité a été lancé. La VUB a également embauché un conseiller en égalité des ressources humaines, qui s'occupera des points d'action. L'ULB quant à elle, met l'accent sur la diversité durable et souhaite développer une politique « genre et diversité ». Elle souhaite détecter les lacunes, initier de nouveaux projets, consolider les actions existantes, mais aussi respecter et dépasser le cadre légal. Un inventaire des mesures existantes a été réalisé selon cinq thèmes : personnes handicapées, genre, identité sexuelle, âge et origine culturelle. Des actions seront alors mises en œuvre endéans les deux ans par un collaborateur recruté avec le soutien d’Actiris. Ces plans de diversité issus de l'enseignement supérieur sont une première pour Bruxelles et une étape importante vers une société plus inclusive. « Je suis heureuse qu'Actiris puisse partager son expertise avec l'ULB et la VUB. Nos consultants en diversité aident à l'élaboration d'une politique de recrutement inclusive et à la communication qui l'accompagne », conclut Cathy Van Remoortere. Info: www.vub.be ; www.ulb.be ; www.actiris.be Les voitures électriques sont rentabilisées après 5 ans De plus en plus de Belges envisagent de rouler à l'électrique. C'est ce qui ressort d'une étude indépendante menée par Mobly, une start-up visant à faciliter la mobilité. L'acquisition d'un véhicule électrique demeure cependant trop rare ; sur un parc automobile belge de près de 6 millions de voitures, seuls quelque 11.000 véhicules électriques roulent sur nos routes (0,18 %) et ce sont principalement des voitures de société. Le prix d’achat légèrement supérieur reste un problème, même si l’option électrique s’avère souvent la moins chère au bout du compte. L'assureur mobilité Mobly propose un module gratuit et pratique permettant de calculer le prix de revient total d'une voiture électrique, sur la base de sa durée de vie, et de le comparer avec celui d'un véhicule à carburant fossile. Les premiers résultats mettent en évidence la rentabilité de l'électrique à partir de 5 ans. Ces calculs tiennent compte des faibles coûts de consommation (carburant et entretien), mais aussi des avantages fiscaux et d'une valeur de revente plus élevée ; éléments souvent mal considérés. « Avec ce module de calcul, Mobly veut informer les conducteurs et les motiver à passer à l'électrique. Notre parc automobile doit être plus vert et le temps presse », explique Gerrit Nollet, CEO de Mobly. À partir de 2030, il ne sera plus permis d’entrer dans Bruxelles avec un véhicule diesel et dès 2035, ce sont même toutes les voitures roulant à l'essence ou au GPL qui seront interdites. 17 autres villes envisagent également la création d'une zone de basses émissions, ce qui aura bientôt un effet sur la valeur résiduelle des voitures à carburants traditionnels. Avec son module de calcul gratuit, Mobly veut encourager le choix de la mobilité intelligente et durable. Info: http://www.mobly.be Bruxelles Métropole - février 2020 ❙ 9

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