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THINK TANK Social media BECI organise un CEO breakfast parmi les dream cars Verrons-nous bientôt un budget mobilité en remplacement de l’auto de société ? Le travailleur préférera-t-il le « cash » au « car » ? Cela réduira-t-il pour autant l’engorgement du trafic ? Voilà des questions que se posent les employeurs à l’heure où les autorités annoncent l’instauration d’un budget mobilité qui pourrait bien, à terme, envoyer la voiture de société aux oubliettes. Tout cela justifiait au moins que BECI y consacre un CEO breakfast. La voiture en tant qu’outil de travail et de rémunération a un impact sur les aspects opérationnels de nos entreprises, certes, mais aussi sur la politique salariale, la motivation et le recrutement. Pendant le salon de l’auto de Bruxelles, la Febiac nous ça ouvert les portes du très exclusif palais des « dream cars ». Thierry van Kan, Président de la fédération automobile, a accueilli quelque 25 membres de BECI, avant d’esquisser le vaste contexte de la mobilité en Belgique et la place qu’y tiennent les voitures de société. Environ 80 % des voitures sur nos routes appartiennent à des particuliers, 20 % à des entreprises. 8 % de l’ensemble du parc automobile composé de 5,7 millions de véhicules sont des voitures de société qui servent aussi aux déplacements privés. C’est donc dans ce dernier groupe qu’intervient un éventuel budget de mobilité. Yannick Mathieu, de Fleet Profile, nous a ensuite livré les résultats d’une enquête récente auprès des employeurs et des travailleurs. Comment réagissent-ils aux modifications de la fiscalité automobile ? Dans quelles circonstances un travailleur préférera-t-il recevoir une somme d’argent plutôt qu’une voiture de l’entreprise ? C’est en tout cas avec les résultats de l’enquête sous le bras que la fédération automobile s’adresse à nos responsables politiques. Febiac entend plaider pour un système durable, efficace, fiscalement acceptable et directement opérationnel. 4 BECI - Bruxelles métropole - mars 2017

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