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5. Mobilité, pression fiscale et simplification administrative : les priorités des entrepreneurs 10 20 30 40 50 60 70 80 0 6. Mobilité : c’est aussi l’affaire des entreprises La mobilité (domicile-travail) est aussi une responsabilité des employeurs 7,14% Tout à fait d’accord D’accord Neutre Pas d’accord Pas du tout d’accord 19,90% 18,88% Plus de 10% 37,50% 16,58% Entre 5 et 10% Entre 0 et 5% Quel pourcentage de vos employés pratique-t-il le covoiturage ? 6,43% 10,89% 2016>2019 Mobilité Diminution de la fiscalité régionale et communale Simplification des procédures administratives Propreté Image de Bruxelles comme centre d'affaires Transformation digitale Aide à l'investissement Interrogés sur les priorités qu’ils assignent au gouvernement bruxellois, les entrepreneurs citent toujours la mobilité en tête (à 68 %, mais ce pourcentage recule), devant la diminution de la fiscalité (35 %, en hausse) et la simplification des procédures administratives (27 %). Suivent la propreté (22 %), et l’image de Bruxelles comme centre d’affaires (18 %). On remarque que l’aide à l’investissement (16 %) remonte de quelques rangs, à égalité avec la transformation digitale. 82,68% Notre sondage l’indique : les entrepreneurs sont prêts à s’impliquer pour améliorer la mobilité bruxelloise. 57 % des employeurs sont « d’accord » ou « tout à fait d’accord » pour affirmer que la mobilité domicile-travail est (aussi) de leur responsabilité. 86 % se déclarent (« tout à fait », « probablement » ou « à certaines conditions ») ouverts à l’adaptation des horaires de travail. De même, 55 % seraient prêts à payer (5 à 8 €/trajet) pour un « train-bureau », si la SNCB mettait ce service à disposition des travailleurs. Et 83 % pourraient, dès lors, à considérer ce temps de trajet comme une prestation. 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Une idée intéressante 14 | Beci Rapport d'activités 2019 juil 2017 > juil 2019 Une idée inacceptable Je ne sais pas En revanche, il reste du chemin à faire pour que le covoiturage s’impose : à en croire notre consultation, la pratique reste marginale (0 à 5 % des employés) dans une très grande majorité d’entreprises (83 %). Peut-être parce que le personnel privilégie d’autres transports alternatifs ? Comment considérez-vous la création d'une taxe kilométrique intelligente ? Quant à instaurer une taxe kilométrique, fût-elle intelligente, les opinions restent très divisées : 46 % d’opinions favorables, contre 39 % d’opinions défavorables. Voilà ce qu’on appelle une idée clivante.

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